29/08/2008
Le livre de Monsieur Joushiki
Au pays de la hairy, il exista un personnage très puissant du nom de M. Joushiki qui décida un jour de rédiger un livre regroupant toutes les règles basiques de la vie à suivre pour son peuple, un guide permettant d’ordonner les humains de son pays.
L’élaboration de cet ouvrage lui demanda beaucoup de temps ; M. Joushiki cherchait non seulement à se faire de la tune, mais surtout à créer un guide s’adaptant à toutes les situations imaginables de la vie. L’aboutissement de son projet serait d'offrir à son peuple la chance de ne plus avoir à réfléchir dans n’importe quelle situation et d’agir uniquement selon des règles pré-écrites. Ses maitres mots étaient : organisation, conditionnement, ass to mouth.
Le livre commença à fleurir dans les librairies hairyennes ; son succès fut immédiat. Les habitants découvraient les joies du conditionnement et de la non-réflexion. Au fur et à mesure des années, ils l’adoptèrent, s’en accommodèrent, jusqu’à en devenir ultra dépendants. Ce livre devenait l’idéal parfait pour régir le pays, et M. Joushiki se félicitait d’avoir atteint son but en se payant quelques prostituées de haut de gamme.
Les gens vivaient bien, la société fonctionnait bien : un modèle organisé, structuré, et robotisé venait d’être créé.
Un jour, alors que la populace mangeait tranquillement dans un restaurant, un homme, tout ce qu’il y a de plus banal, prit place pour déjeuner. Il commanda un menu BarelyLegal composé du plat principal, d’une soupe, et d’un œuf…mais affirma ne pas vouloir de l’œuf. A ce moment bien précis, le pays allait commencer à être exposé à des difficultés insurmontables. Car en effet, cette situation ne figurait pas dans le livre de M. Joushiki. Le serveur resta planté, incapable de dire quoique ce soit, passif devant une situation inimaginable qui le dépassait totalement. Il essaya pourtant de faire répéter le client, de tendre l’oreille, pensant qu’il avait peut-être mal entendu, mais en vain : son client ne voulait bel et bien pas d’œuf. Comment allait-il faire? Il appela alors ses collègues et leur exposa le problème. Surpris par cette situation inattendue, ils se mirent à leur tour à paniquer. Ensemble, ils tentèrent de se remémorer des extraits du livre de cette baltraingue de M. Joushiki, pensant avoir malencontreusement omis un passage, mais toujours en vain. Ayant pris l’habitude de s’accommoder à ce livre et d’éviter toute prise de risque, ils essayèrent tout de même de réfléchir ensemble et arrivèrent à une solution ultime : servir le menu avec l’œuf au client sans que celui-ci le consomme, et, une fois le repas terminé, jeter cet œuf à la poubelle ; en d’autres termes, ne rien faire. Le client, désabusé, conscient qu’une solution judicieuse serait tout simplement de ne pas se faire servir d’œuf, ne trouva pas d’autre moyen que d’accepter…
Une chose affreuse venait d'avoir lieu ; l’ouvrage de M. Joushiki, incapable d’englober toutes les situations de la vie, s'avérait imparfait.
Comment ce peuple allait-t-il donc faire, lui dont la vie dépendait totalement de ce livre, pour agir dans des situations n’y figurant pas?
La réponse est simple : que d’al.
Eh oui, quand une situation n’est pas mentionnée dans ce livre, c’est le bug tout simplement. Il peut exister 3000 solutions judicieuses à une situation inattendue et nouvelle, 3000 solutions plus favorables à une situation courante, et bien elles ne seront jamais évoquées si elles ne figurent pas dans ce putain de livre.
M. Joushiki, du haut de son trône, avait ainsi réussi à prendre dans le boule toute une population. Mais le plus plaisant dans cette histoire, c'est que cette même population n'est toujours pas consciente des faiblesses de ce livre...
14:23 Publié dans Japon | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : livre, joushiki, oeuf
25/08/2008
Merde Nagoyito-Péruvienne
A Nagoya près de la gare il existe des Péruviens qui jouent la lambada. Cette pratique a pour conséquence d'exciter pas mal de Japs qui se réunissent devant dans le but d'avoir l'air con. Preuve en est ici, notamment avec la fille qui excelle un pas de danse de merde tel un robot et les 2 mecs qui ont un orgasme.
16:05 Publié dans Japon | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : merde, pérou, japon
18/08/2008
Le Canard des Tickets
Muni de sa voix de canard et de son micro de chanteur, le Canard des Tickets sert à remercier les gens pour avoir composter leur ticket de métro car cela influe relativement sur sa vie.
Illustration en vidéo (et encore ça ne vaut pas les heures de pointe) :
13:55 Publié dans Japon | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : canard, tickets, japon
11/08/2008
Les Canards
Le Japon pullule de canards. Pour s’en rendre compte il suffit de se balader un peu dans des rues commerçantes, d’entrer dans quelques magasins, ou encore de prendre le métro ou le bus.
Les canards sont des japs qui ont hérité d’un don fantastique: celui d’avoir une voix de canard.
Il est avant toute chose nécessaire de bien distinguer les canards visibles des canards non visibles.
Les canards visibles sont logiquement ceux que l’on voit. Ces derniers sont particulièrement concentrés dans les espaces commerçantes. Certains sont vendeurs dans des magasins ou resto, alors que d’autres assurent des boulots de merde tels que tenir un panneau dans la rue ou remercier les gens qui compostent leur ticket de métro.
Les canards non visibles sont donc par corollaire rien d’autre qu’une voix dont le locuteur n’est pas visible. Il en existe tout particulièrement dans les métros, les bus, les escalators, et dans bien d’autres lieux encore.
Etre ou devenir un canard au pays de la hairy, c’est une manière de crier des annonces en employant une voix standard. Car ici, la voix de canard est bien un standard permettant de faire diverses annonces, tels que crier des promotions, annoncer les stations de métro etc. Ainsi, à quelques exceptions près, tous les canards au Japon ont la même voix.
Les canards femelles ont une voix digne d’une fillette de 5 ans, voix faisant une fois de plus très biatch.
Les canards males ont eux une voix nasale, sans doute plus proche de la voix de canard que celle des canards femelles.
Petite illustration en vidéo avec une compilation de quelques canards aperçus un peu partout (bien ouvrir les oreilles par moment) :
22:00 Publié dans Japon | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : canards, japon
01/08/2008
Putain de Gokiburi
20:35 Publié dans Japon | Lien permanent | Commentaires (4)
21/07/2008
Les pre-milf au complet
16:49 Publié dans Japon | Lien permanent | Commentaires (6)
18/07/2008
Les Filles à Chaussettes
Lorsqu’une Jap veut être plus biatch que biatch, elle porte des chaussettes longues et devient alors ce qu’on appelle une Fille à Chaussettes.
La plupart du temps de couleur noir, les japs ont souvent tendance à les porter avec une jupe ou un short bien court et des talons sur lesquels elle n’arrive pas à tenir en équilibre. Au-delà de cet aspect biatch que je me plais à répéter, cette pratique a pour effet d’éveiller l’instinct pervers des colosses, ce qui fonctionne parfaitement.
Les écolières sont souvent sujettes à fantasme ici du fait de leur uniforme. Du début de la scolarité jusqu’à la fin du lycée, les japonaises voient leur jupe s’écourter (parfois même les plus sluts la remontent). La mode des chaussettes et leur côté provocation chibriale est ainsi probablement dérivée des chaussettes d’écolières.
16:38 Publié dans Japon | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : filles, chaussettes
09/07/2008
Traverser, c'est dame
Patienter à un feu rouge fait sans doute parti des choses que l'on fait le mieux ici, surtout quand il s'agit de traverser une petite rue sans circulation la nuit à 4 heures du matin. Quand un feu est rouge, on ne traverse pas quelle que soit la situation. On peut se dire que c'est cool, que les gens ici respectent les règles, mais il suffit de voir des troupeaux s'entasser au bord d'une rue pendant près de 2 minutes, alors qu'il n'y a aucun danger à traverser, pour avoir envie de crier "bande de bléro!". D'autant plus que les feux ici sont en général beaucoup plus longs qu'en France et que les gens qui attendent bouchent le passage.
En traversant régulièrement des rues de 3 mètres de large lorsque le feu est rouge, je fais actuellement parti des gangsters les plus recherchés du Japon.
Illustration avec une vidéo prise il y a quelques jours :
09:51 Publié dans Japon | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : rue, japon